Libérons-nous du stress:
L'anxiété sociale correspond à la peur persistante d'une ou de plusieurs situations dans lesquelles la personne est susceptible d'être observée par autrui et craint d'agir de façon humiliante ou embarrassante. Lorsque nous sommes l'objet de l'attention des autres, il peut arriver que nous ayons peur de ne pas faire bonne impression. Voici plusieurs variantes : le trac, la timidité et la phobie sociale en sont les principales.
Le trac est le nom que l'on donne à l'inconfort ponctuel, directement associé à une performance à exécuter devant public. Il est limité à cette situation et n'altère pas, de façon importante, la qualité de vie de l'individu.
Plus généralisée, la timidité correspond à un trait personnel, à une manière d'être. La personne timide éprouve habituellement plus d'anxiété sociale que la moyenne. Au fil des rencontres cependant, l'angoisse diminue et la personne timide s'adapte. La timidité comporte d'ailleurs certains avantages. Les personnes timides sont souvent appréciées pour leur discrétion, leur sensibilité, leur sens de l'observation, leur sens critique et leur capacité d'analyse. Le monde d'aujourd'hui valorise l'extraversion mais tout groupe, toute population se doit de compter parmi ses membres des extravertis et des introvertis.
À l'extrême, la timidité devient de la phobie sociale. Il s'agit là d'une peur importante et persistante de situations sociales où l'on est exposé au regard et à l'évaluation d'autrui. La personne souffrant de phobie sociale craint d'être humiliée ou embarrassée par sa façon d'agir ou par ses symptômes d'anxiété tels que le rougissement ou les tremblements.
Il est important de mentionner que nous vivons dans une société qui valorise l'individualisme et la performance. Il y lieu de s'interroger sur les effets qu'a cette quête de l'excellence sur nos relations interpersonnelles.
Les manifestations de l'anxiété sociale sont diverses. Sous les projecteurs, les gens ressentent souvent des palpitations, des maux de tête. Ils transpirent plus qu'à l'habitude, ils ont l'estomac noué, sont tendus et ont la bouche et la gorge sèches. Les symptômes les plus redoutés sont ceux qui révèlent, contre notre gré, notre nervosité. Le rougissement, le bégaiement et les tremblements en font partie. Les gens ont alors tendance à focaliser davantage sur ces manifestations, ce qui a pour effet de les amplifier et donc d'augmenter, à son tour, le niveau d'anxiété.
Si nous pouvions entendre les pensées qui traversent l'esprit des personnes qui souffrent de cette phobie avant, pendant et après une situation sociale, nous découvririons un discours intérieur fort négatif. Avant une rencontre, ces personnes anticipent souvent les pires scénarios. Une fois sur place, elles se concentrent sur leur malaise intérieur plutôt que sur la rencontre en cours. De retour à la maison, elles repassent inlassablement le film de cette rencontre, recherchant les erreurs présumées et amplifiant les conséquences de celles-ci. Non seulement ces autoverbalisations contribuent à augmenter l'anxiété et l'évitement relié à celle-ci, mais elles favorisent l'échec au plan social.
L'anxiété sociale n'est pas à proscrire. Lorsque l'anxiété est trop faible, l'individu est moins motivé et moins mobilisé par la situation et risque ainsi de moins réussir. Lorsqu'elle est présente sans être excessive, l'anxiété stimule et nous permet de faire une meilleure prestation. Nous ne devons donc pas chercher à ne ressentir aucun stress mais plutôt chercher à garder un bon contrôle sur soi qui nous permettra d'être alerte et présent aux autres.
L'une des premières étapes pour s'affranchir de la peur des autres consiste à s'habituer progressivement à affronter les situations redoutées. Cette exposition doit être graduelle. Il est préférable de commencer par une situation relativement facile puis, une fois qu'elle est surmontée, de passer à une autre un peu plus difficile et ainsi de suite. En répétant ces exercices d'exposition, la personne constate que son anxiété diminue, elle gagne confiance et parvient petit à petit à surmonter son angoisse.
Nous devons identifier les perceptions erronées qui découlent de croyances que l'on entretient au sujet de soi-même et d'autrui, puis apprendre à les modifier en étant plus réalistes et en nuançant. Il est important de se pencher sur nos perceptions et nos propres croyances et de tenter de les remettre en question.
Une bonne partie de l'anxiété sociale vient du fait que l'on se prend trop au sérieux et que l'on veut trop faire bonne impression. Pourquoi ne pas se prendre tel que l'on est : tantôt malhabile, tantôt timide, parfois drôle et souvent sympathique?
D'après les propos de Louise Careau, psychologue
Références
André, C. et Légeron, P. (2000), La peur des autres : trac, timidité et phobie sociale (3e éd.), Paris, Éditions Odile Jacob.
Boisvert, J.-M. et Beaudry, M. (1979), S'affirmer et communiquer, Montréal, Éditions de l'Homme.
Vermette, J. et Cloutier, R. (1992), La parole en public, Québec, Les Presses de l'Université Laval.
Publié par Stop au stress"
Le massage nous ramène à notre vrai nature...
lundi 28 décembre 2009
jeudi 24 décembre 2009
Libérons-nous du stress
Libérons-nous du stress:
Les anti corps sensibles au stress
« Quand une personne voit quelque chose d'effroyable, le centre (subtil) appelé Coeur centre se met à pulser rapidement. Jusqu'à l'âge de douze ans, le sternum, qui est placé entre les côtes, ici, comme vous le savez, crée des anticorps pour lutter contre toute invasion interne, qu'elle soit mentale, émotionnelle ou physique. Ces anticorps sont répartis dans tout le corps jusqu'à l'âge de douze ans. Et quand le sternum reçoit un message (de peur), il commence à trembler et il transmet, communique aux anti-corps, par l'intermédiaire des nerfs, par les artères ou les autres liens que l’on a jusqu’ici découvert, l’ordre de se battre. Ces anti-corps combattent la maladie…
Si une femme se sent stressée, si elle a un sentiment d’insécurité, alors ce centre est toujours en pulsation. Et c'est ainsi que les anticorps se retrouvent épuisés, parce qu'ils sont tout le temps en état d'urgence…Or, lorsque ces anticorps sont fatigués, ils s’engourdissent terriblement et ils ne peuvent plus trouver la force de lutter contre une agression. De même, si une dame, comme Je vous l’ai dit, est stressée au quotidien, a un problème et ressent toujours de la peur, il s’ensuit que le système commence à trop se fatiguer. En fin de compte il tombe malade. Elle peut alors développer une maladie appelée le cancer du sein. Le cancer du sein est très fréquent de nos jours parmi les femmes occidentales. Parce que la maternité de la femme est remise en question...Et lorsque une dame constate que sa maternité est mise en doute, elle commence à se sentir très nerveuse. Le Cœur centre en devient hyper actif, et elle développe ce type de cancer du sein, des troubles de la poitrine, toutes sortes de problèmes, car ses anticorps sont devenus très faibles. »
Shri Mataji, programme public, Melbourne, Australie, 1983
Publié par stop au stress"
Les anti corps sensibles au stress
« Quand une personne voit quelque chose d'effroyable, le centre (subtil) appelé Coeur centre se met à pulser rapidement. Jusqu'à l'âge de douze ans, le sternum, qui est placé entre les côtes, ici, comme vous le savez, crée des anticorps pour lutter contre toute invasion interne, qu'elle soit mentale, émotionnelle ou physique. Ces anticorps sont répartis dans tout le corps jusqu'à l'âge de douze ans. Et quand le sternum reçoit un message (de peur), il commence à trembler et il transmet, communique aux anti-corps, par l'intermédiaire des nerfs, par les artères ou les autres liens que l’on a jusqu’ici découvert, l’ordre de se battre. Ces anti-corps combattent la maladie…
Si une femme se sent stressée, si elle a un sentiment d’insécurité, alors ce centre est toujours en pulsation. Et c'est ainsi que les anticorps se retrouvent épuisés, parce qu'ils sont tout le temps en état d'urgence…Or, lorsque ces anticorps sont fatigués, ils s’engourdissent terriblement et ils ne peuvent plus trouver la force de lutter contre une agression. De même, si une dame, comme Je vous l’ai dit, est stressée au quotidien, a un problème et ressent toujours de la peur, il s’ensuit que le système commence à trop se fatiguer. En fin de compte il tombe malade. Elle peut alors développer une maladie appelée le cancer du sein. Le cancer du sein est très fréquent de nos jours parmi les femmes occidentales. Parce que la maternité de la femme est remise en question...Et lorsque une dame constate que sa maternité est mise en doute, elle commence à se sentir très nerveuse. Le Cœur centre en devient hyper actif, et elle développe ce type de cancer du sein, des troubles de la poitrine, toutes sortes de problèmes, car ses anticorps sont devenus très faibles. »
Shri Mataji, programme public, Melbourne, Australie, 1983
Publié par stop au stress"
mardi 22 décembre 2009
L'attaque d'angoisse
Anxiété généralisée - Wikipédia:
L'attaque d'angoisse est, au contraire plus rare, mais plus brutale et survient sans prévenir. Les symptômes sont similaires à ceux d'une crise de panique.
Dans ces moments là, l'angoisse est exacerbée : libre, flottante, sans objet, impression de danger imminent, de désorganisation, de déréalisation, et surtout d'impuissance et de détresse. La personne peut avoir peur de mourir ou de perdre la raison dans l'immédiat.
Les signes physiques sont prononcés : teint pâle, haletant, tachycardie, hypersudation. La personne est soit agitée, soit au contraire immobile, prostrée dans l'attente de la catastrophe imminente et fatale. Les symptômes sont alors : gêne respiratoire, constriction thoracique, vertiges, nausées, brouillard visuel, etc.
La crise s'arrête d'elle même au bout d'un temps variable (de quelques minutes ou plusieurs heures), peut être unique ou renouvelée, et peut s'accompagner d'une débâcle polyurique ou diarrhéique."
D.C.; la crise d'angoisse est plus violente et beaucoup plus désagréable, elle nous fait paniquer encore davantage que la crise d'anxiété, elle dure moins longtemps par contre. Encore là, paniquez pas elle va disparaître d'elle-même.
L'attaque d'angoisse est, au contraire plus rare, mais plus brutale et survient sans prévenir. Les symptômes sont similaires à ceux d'une crise de panique.
Dans ces moments là, l'angoisse est exacerbée : libre, flottante, sans objet, impression de danger imminent, de désorganisation, de déréalisation, et surtout d'impuissance et de détresse. La personne peut avoir peur de mourir ou de perdre la raison dans l'immédiat.
Les signes physiques sont prononcés : teint pâle, haletant, tachycardie, hypersudation. La personne est soit agitée, soit au contraire immobile, prostrée dans l'attente de la catastrophe imminente et fatale. Les symptômes sont alors : gêne respiratoire, constriction thoracique, vertiges, nausées, brouillard visuel, etc.
La crise s'arrête d'elle même au bout d'un temps variable (de quelques minutes ou plusieurs heures), peut être unique ou renouvelée, et peut s'accompagner d'une débâcle polyurique ou diarrhéique."
D.C.; la crise d'angoisse est plus violente et beaucoup plus désagréable, elle nous fait paniquer encore davantage que la crise d'anxiété, elle dure moins longtemps par contre. Encore là, paniquez pas elle va disparaître d'elle-même.
dimanche 20 décembre 2009
Anxiété généralisée
Anxiété généralisée - Wikipédia:
L'attente anxieuse est le symptôme le plus constant et le plus durable dans le temps. Elle peut être définie comme un état d'alerte et de tension, permanente et forte, une inquiétude durable, sans objet défini, pouvant surgir et se concrétiser pour n'importe quel prétexte. Il peut s'agir de la peur d'une mort imminente par exemple. Pierre Janet la décrivait comme « un sentiment pénible d'attente, une peur sans objet ». « On a peur de quelque chose, tandis que l'anxiété se rapporte à soi » (Binder).
La symptomatologie peut s'exprimer sous différentes formes :
* Sentiment d'insécurité.
* Attente d'une menace imprécise.
* Exagération, majoration du moindre souci.
* Interrogations sur l'avenir.
* Sursaut à la moindre chose.
* Le sujet a des troubles fréquents de la concentration et du mal à maintenir une activité intellectuelle.
* L'anxiété augmente au fil de la journée pour atteindre son paroxysme le soir."
D.C. ; si vous vous trouvez dans cette situation, ne paniquez surtout pas, les symptômes vont disparaître par eux-mêmes. soyez plutôt attentifs à ce qui se passe à l'intérieur de vous à ce moment, prenez de grandes respirations et relaxé. C'est probablement la seule solution pour que les symptômes disparaissent, la panique vont augmenter les crises comme un cercle vicieux alors ne paniquez pas.
L'attente anxieuse est le symptôme le plus constant et le plus durable dans le temps. Elle peut être définie comme un état d'alerte et de tension, permanente et forte, une inquiétude durable, sans objet défini, pouvant surgir et se concrétiser pour n'importe quel prétexte. Il peut s'agir de la peur d'une mort imminente par exemple. Pierre Janet la décrivait comme « un sentiment pénible d'attente, une peur sans objet ». « On a peur de quelque chose, tandis que l'anxiété se rapporte à soi » (Binder).
La symptomatologie peut s'exprimer sous différentes formes :
* Sentiment d'insécurité.
* Attente d'une menace imprécise.
* Exagération, majoration du moindre souci.
* Interrogations sur l'avenir.
* Sursaut à la moindre chose.
* Le sujet a des troubles fréquents de la concentration et du mal à maintenir une activité intellectuelle.
* L'anxiété augmente au fil de la journée pour atteindre son paroxysme le soir."
D.C. ; si vous vous trouvez dans cette situation, ne paniquez surtout pas, les symptômes vont disparaître par eux-mêmes. soyez plutôt attentifs à ce qui se passe à l'intérieur de vous à ce moment, prenez de grandes respirations et relaxé. C'est probablement la seule solution pour que les symptômes disparaissent, la panique vont augmenter les crises comme un cercle vicieux alors ne paniquez pas.
samedi 19 décembre 2009
Libérons-nous du stress avec la meditation
Tiré du site stop au stress
Libérons-nous du stress:
La méditation en tant que remède
Depuis 40 ans, les scientifiques occidentaux commencent à mesurer les effets physiologiques de la méditation. En 1969, il n'y a que 3 publications anglo-saxonnes sur le sujet en 1969, mais en 1997, ce chiffre atteint 1 200.
En 2007, 2 285 études scientifiques analysent l'impact sur la santé de la méditation. Mais, mieux vaut parler des méditations car le terme recouvre une multitude de pratiques.
Rapidement, on démontre que la méditation ralentit les rythmes cardiaque et respiratoire, la tension musculaire et les ondes cérébrales, qu'elle a une action préventive des troubles cardiovasculaires, diminue l’hypertension et beaucoup de douleurs chroniques etc. Chez les méditants, la plasticité du cerveau change : certaines connexions neuronales disparaissent, se créent ou se renforcent.
Surtout, la pratique régulière de la méditation aide à lutter contre le stress. Quand il devient chronique, celui-ci affaiblit l'organisme (accélération du vieillissement, déficit immunitaire, taux de cortisol élevé) et peut contribuer à l'exacerbation ou la chronicité de l'asthme, du psoriasis, de la migraine, de la fatigue, de l'arthrite rhumatoïde,voire à aggraver des maladies comme l'hypertension, les maladies cardiovasculaires, le cancer, le diabète de type II.
Aux Etat-Unis, 200 hôpitaux américains utilisent systématiquement la méditation en complément des traitements traditionnels, surtout auprès de patients atteints de cancer, pour lutter contre le stress dû à la maladie, aux douleurs chroniques et aux traitements pénibles.
Plus sur : Pratiques de santé, Le journal de la médecine naturelle
Novembre 2009 N° 95
Publié par stop au stress"
Libérons-nous du stress:
La méditation en tant que remède
Depuis 40 ans, les scientifiques occidentaux commencent à mesurer les effets physiologiques de la méditation. En 1969, il n'y a que 3 publications anglo-saxonnes sur le sujet en 1969, mais en 1997, ce chiffre atteint 1 200.
En 2007, 2 285 études scientifiques analysent l'impact sur la santé de la méditation. Mais, mieux vaut parler des méditations car le terme recouvre une multitude de pratiques.
Rapidement, on démontre que la méditation ralentit les rythmes cardiaque et respiratoire, la tension musculaire et les ondes cérébrales, qu'elle a une action préventive des troubles cardiovasculaires, diminue l’hypertension et beaucoup de douleurs chroniques etc. Chez les méditants, la plasticité du cerveau change : certaines connexions neuronales disparaissent, se créent ou se renforcent.
Surtout, la pratique régulière de la méditation aide à lutter contre le stress. Quand il devient chronique, celui-ci affaiblit l'organisme (accélération du vieillissement, déficit immunitaire, taux de cortisol élevé) et peut contribuer à l'exacerbation ou la chronicité de l'asthme, du psoriasis, de la migraine, de la fatigue, de l'arthrite rhumatoïde,voire à aggraver des maladies comme l'hypertension, les maladies cardiovasculaires, le cancer, le diabète de type II.
Aux Etat-Unis, 200 hôpitaux américains utilisent systématiquement la méditation en complément des traitements traditionnels, surtout auprès de patients atteints de cancer, pour lutter contre le stress dû à la maladie, aux douleurs chroniques et aux traitements pénibles.
Plus sur : Pratiques de santé, Le journal de la médecine naturelle
Novembre 2009 N° 95
Publié par stop au stress"
vendredi 18 décembre 2009
Libérons-nous du stress
Tiré du site stop-au-stress.fr
Libérons-nous du stress:
"Le stress nuit aux études
Le docteur Ehdlinger, directeur du service de santé Boynton de l'université du Minnesota et auteur principal de l'étude, et les chercheurs du Health Service de l'Université du Minnesota Boynton, ont montré clairement un lien entre le stress des étudiants et leur réussite universitaire. (2008)
C’est la première fois que des chercheurs observent et interrogent 9931 étudiants pendant 2 ou 4 ans, venant de 14 écoles différentes.
Leur objectif :
Trouver une relation éventuelle entre le niveau universitaire de ces étudiants et des problèmes de santé tels que le stress, ou des addictions. Pour classer leurs résultats, ils utilisent « le GPA », Le « Grade Point Average » c'est-à-dire, la moyenne obtenue par un étudiant dans le système anglo-saxon.
Le stress est apparu comme un de facteur très important : 69,9% des étudiants se sentent stressés, et 32.9% affirment que ce stress affecte leur rendement scolaire.
En fait, ceux qui subissent réellement des conditions stressantes, -allant du solde débiteur de leur carte de crédit à des conflits avec les parents- présentent un GPA moyen de 2.72 tandis que ceux qui n'ont signalé aucun stress important, ont une moyenne de 3,3. «Cette différence de GPA peut sembler mineure, cependant lorsque vous raisonnez sur plus de 9000 étudiants, l'impact de cette différence est énorme», déclare le Dr Ed Ehlinger.
Parallèlement, les étudiants qui gèrent leur stress se sont montrés plus performants que les autres.
De précédentes études ont montré que les étudiants qui passent trop de temps devant l'ordinateur, la télévision ou les jeux vidéo sont plus susceptibles de se livrer à d'autres habitudes néfastes pour la santé, telles que la mal-bouffe.
'Le temps passé devant un écran a eu un impact énorme sur le GPA', expose-t-il. 'Nous savions qu'il existait un impact, mais pas aussi marqué.'
Idem pour les addictions : consommation d'alcool intensive pour recherche d’ivresse, prise de drogue et tabagisme. M. Ehlinger déclare que la consommation de tabac pour se détendre ou 'être socialement reconnu' a des effets négatifs sur le niveau des étudiants.
Mais d’autres constats sont très surprenants : les étudiants travailleurs n’ont pas de résultats universitaires inférieurs aux autres. Ce constat se vérifie indépendamment de la durée du travail. 'Le sens commun tendrait plutôt à penser que plus vous travaillez, plus le stress pèse sur vos études' a déclaré le Dr Ehlinger. 'Quelque chose d'autre doit se passer, les gens se sentent peut-être protégés lorsqu'ils travaillent. Ceci concerne peut-être la gestion du temps. '
Plus sur :
http://fr.healthnews.com/sante-famille/enfants-sante/linfluence-du-stress-sur-le-rendement-scolaire-des-eleves-1129.html
Publié par stop au stress"
D.C.; on croit que nos enfants sont pas stressé, on se trompe royalement.
Libérons-nous du stress:
"Le stress nuit aux études
Le docteur Ehdlinger, directeur du service de santé Boynton de l'université du Minnesota et auteur principal de l'étude, et les chercheurs du Health Service de l'Université du Minnesota Boynton, ont montré clairement un lien entre le stress des étudiants et leur réussite universitaire. (2008)
C’est la première fois que des chercheurs observent et interrogent 9931 étudiants pendant 2 ou 4 ans, venant de 14 écoles différentes.
Leur objectif :
Trouver une relation éventuelle entre le niveau universitaire de ces étudiants et des problèmes de santé tels que le stress, ou des addictions. Pour classer leurs résultats, ils utilisent « le GPA », Le « Grade Point Average » c'est-à-dire, la moyenne obtenue par un étudiant dans le système anglo-saxon.
Le stress est apparu comme un de facteur très important : 69,9% des étudiants se sentent stressés, et 32.9% affirment que ce stress affecte leur rendement scolaire.
En fait, ceux qui subissent réellement des conditions stressantes, -allant du solde débiteur de leur carte de crédit à des conflits avec les parents- présentent un GPA moyen de 2.72 tandis que ceux qui n'ont signalé aucun stress important, ont une moyenne de 3,3. «Cette différence de GPA peut sembler mineure, cependant lorsque vous raisonnez sur plus de 9000 étudiants, l'impact de cette différence est énorme», déclare le Dr Ed Ehlinger.
Parallèlement, les étudiants qui gèrent leur stress se sont montrés plus performants que les autres.
De précédentes études ont montré que les étudiants qui passent trop de temps devant l'ordinateur, la télévision ou les jeux vidéo sont plus susceptibles de se livrer à d'autres habitudes néfastes pour la santé, telles que la mal-bouffe.
'Le temps passé devant un écran a eu un impact énorme sur le GPA', expose-t-il. 'Nous savions qu'il existait un impact, mais pas aussi marqué.'
Idem pour les addictions : consommation d'alcool intensive pour recherche d’ivresse, prise de drogue et tabagisme. M. Ehlinger déclare que la consommation de tabac pour se détendre ou 'être socialement reconnu' a des effets négatifs sur le niveau des étudiants.
Mais d’autres constats sont très surprenants : les étudiants travailleurs n’ont pas de résultats universitaires inférieurs aux autres. Ce constat se vérifie indépendamment de la durée du travail. 'Le sens commun tendrait plutôt à penser que plus vous travaillez, plus le stress pèse sur vos études' a déclaré le Dr Ehlinger. 'Quelque chose d'autre doit se passer, les gens se sentent peut-être protégés lorsqu'ils travaillent. Ceci concerne peut-être la gestion du temps. '
Plus sur :
http://fr.healthnews.com/sante-famille/enfants-sante/linfluence-du-stress-sur-le-rendement-scolaire-des-eleves-1129.html
Publié par stop au stress"
D.C.; on croit que nos enfants sont pas stressé, on se trompe royalement.
jeudi 17 décembre 2009
La méditation spontanée
Tiré du site meditationspontanee.com
MEDITATION SPONTANEE:
"Bienvenue à vous qui êtes désemparés face à l'agitation de votre vie quotidienne,
Bienvenue à vous qui cherchez en vous-même le calme intérieur, la paix intérieure,
Bienvenue à vous qui êtes ouvert à votre être intérieur,
Bienvenue à vous qui ne connaissez pas encore votre Soi, l'Esprit qui est en vous !"
D.C.; outil très intéressant pour contrôler son stress, la méditation peut vous apporter beaucoup de bien-être, tout en nous ramenant au moment présent. Allez visiter ce site il est très intéressant...
MEDITATION SPONTANEE:
"Bienvenue à vous qui êtes désemparés face à l'agitation de votre vie quotidienne,
Bienvenue à vous qui cherchez en vous-même le calme intérieur, la paix intérieure,
Bienvenue à vous qui êtes ouvert à votre être intérieur,
Bienvenue à vous qui ne connaissez pas encore votre Soi, l'Esprit qui est en vous !"
D.C.; outil très intéressant pour contrôler son stress, la méditation peut vous apporter beaucoup de bien-être, tout en nous ramenant au moment présent. Allez visiter ce site il est très intéressant...
mercredi 16 décembre 2009
Gérer son stress et courir continuellement
Tiré du site passeportsante.net
Gérer son stress: la prescription du Dr Serge Marquis:
"Le stress menace notre santé quand nous surestimons notre capacité à tout faire dans une seule journée, au travail comme à la maison.
La gestion efficace du stress commence par la discipline de s’accorder un temps d’arrêt pour faire l’inventaire de nos ressources avant d’agir, a expliqué le Dr Marquis, spécialiste en santé communautaire et santé au travail.
« Le stress est l’écart disproportionné entre la perception de la demande et des moyens à notre disposition », soutient le Dr Marquis. Notre pouvoir réside principalement dans le choix de la réaction la plus appropriée pour y répondre, affirme-t-il.
Ce temps d’arrêt demande quelques minutes à peine pour recentrer notre attention sur notre respiration, explique-t-il. « Un moment qui permet d’ouvrir ce que j’appelle une fenêtre de lucidité, essentielle pour évaluer le problème avant d’y apporter une solution. »
Un exercice exigeant, en tenant compte du temps moyen consacré aux activités en 24 h, avance le médecin. « Les soins du corps demandent 1 heure. Nous avons besoin de 7 h à 8 h pour dormir. Une autre heure au moins est nécessaire pour les besoins indispensables à l’existence comme boire, manger, payer les factures, faire le plein d’essence, etc. Rajoutez-y 2 heures consacrées aux repas et à la vaisselle, en plus du temps consacré aux transports, il ne vous en reste plus que 2 pour la détente. »"
D.C.; on se fixe des limites beaucoup trop élevées pour ce qu'il y ait de notre capacité à faire les choses dans une journée, On prend pas vraiment le temps de calculer le temps que l'on a à notre disposition. On ajoute des choses a faire et on se dépêche pour essayer de les accomplir les unes après les autres le plus vite possible, en plus durant ce temps ont réussi à en rajouter d'autre pour enfin se rendre compte qu'à la fin de la journée on a passé notre temps à courir, à se stresser pour rien.
Tout cela nous empêche de vraiment prendre le temps de faire les choses comme il faut, car on doit toujours courir. Cette mauvaise habitude nous empêche de vivre le moment présent, car on se retrouve toujours dans notre tête à penser à la prochaine chose à faire. C'est pas pour rien que les journées passent si vite, car on n'est jamais présent, on est toujours dans le passé ou dans le futur, deux chose qui en réalité n'existe pas...
Gérer son stress: la prescription du Dr Serge Marquis:
"Le stress menace notre santé quand nous surestimons notre capacité à tout faire dans une seule journée, au travail comme à la maison.
La gestion efficace du stress commence par la discipline de s’accorder un temps d’arrêt pour faire l’inventaire de nos ressources avant d’agir, a expliqué le Dr Marquis, spécialiste en santé communautaire et santé au travail.
« Le stress est l’écart disproportionné entre la perception de la demande et des moyens à notre disposition », soutient le Dr Marquis. Notre pouvoir réside principalement dans le choix de la réaction la plus appropriée pour y répondre, affirme-t-il.
Ce temps d’arrêt demande quelques minutes à peine pour recentrer notre attention sur notre respiration, explique-t-il. « Un moment qui permet d’ouvrir ce que j’appelle une fenêtre de lucidité, essentielle pour évaluer le problème avant d’y apporter une solution. »
Un exercice exigeant, en tenant compte du temps moyen consacré aux activités en 24 h, avance le médecin. « Les soins du corps demandent 1 heure. Nous avons besoin de 7 h à 8 h pour dormir. Une autre heure au moins est nécessaire pour les besoins indispensables à l’existence comme boire, manger, payer les factures, faire le plein d’essence, etc. Rajoutez-y 2 heures consacrées aux repas et à la vaisselle, en plus du temps consacré aux transports, il ne vous en reste plus que 2 pour la détente. »"
D.C.; on se fixe des limites beaucoup trop élevées pour ce qu'il y ait de notre capacité à faire les choses dans une journée, On prend pas vraiment le temps de calculer le temps que l'on a à notre disposition. On ajoute des choses a faire et on se dépêche pour essayer de les accomplir les unes après les autres le plus vite possible, en plus durant ce temps ont réussi à en rajouter d'autre pour enfin se rendre compte qu'à la fin de la journée on a passé notre temps à courir, à se stresser pour rien.
Tout cela nous empêche de vraiment prendre le temps de faire les choses comme il faut, car on doit toujours courir. Cette mauvaise habitude nous empêche de vivre le moment présent, car on se retrouve toujours dans notre tête à penser à la prochaine chose à faire. C'est pas pour rien que les journées passent si vite, car on n'est jamais présent, on est toujours dans le passé ou dans le futur, deux chose qui en réalité n'existe pas...
mardi 15 décembre 2009
Votre ordinateur vous fait mal...
Tiré du site passeportsante.net
Votre ordinateur est-il le seul responsable de vos maux?:
"Maux de tête, raideur au poignet, tension aux épaules, ça vous dit quelque chose? Une position mal adaptée et des heures prolongées devant l’ordinateur constituent une combinaison parfaite pour engendrer une multitude de douleurs que les ergonomes rassemblent sous le terme de troubles musculosquelettiques (TMS).
Or, si l’on sait que ces troubles représentent un problème grandissant, le phénomène lui, est difficile à cerner. Plusieurs facteurs doivent en effet entrer dans l’équation et vont bien au-delà de l’équipement et de la posture adoptée. Le diagnostic est aussi délicat à poser puisque ces troubles sont souvent intermittents."
D.C.; Le problème principal des douleurs occasionnées, sont souvent du à l'inertie du corps, ont bouge presque pas, on fait toujours le même mouvement et en plus on est très mal positionné. Pas étonnant de se retrouver à la fin de la journée avec des douleurs un peu partout. Chose facile a faire, simplement se lever à l'occasion et faire d'autres mouvements que ce que l'on fait devant l'ordinateur. Exemple; faire des étirements , marcher, en profiter pour ranger, mais bouger le plus possible.
Votre ordinateur est-il le seul responsable de vos maux?:
"Maux de tête, raideur au poignet, tension aux épaules, ça vous dit quelque chose? Une position mal adaptée et des heures prolongées devant l’ordinateur constituent une combinaison parfaite pour engendrer une multitude de douleurs que les ergonomes rassemblent sous le terme de troubles musculosquelettiques (TMS).
Or, si l’on sait que ces troubles représentent un problème grandissant, le phénomène lui, est difficile à cerner. Plusieurs facteurs doivent en effet entrer dans l’équation et vont bien au-delà de l’équipement et de la posture adoptée. Le diagnostic est aussi délicat à poser puisque ces troubles sont souvent intermittents."
D.C.; Le problème principal des douleurs occasionnées, sont souvent du à l'inertie du corps, ont bouge presque pas, on fait toujours le même mouvement et en plus on est très mal positionné. Pas étonnant de se retrouver à la fin de la journée avec des douleurs un peu partout. Chose facile a faire, simplement se lever à l'occasion et faire d'autres mouvements que ce que l'on fait devant l'ordinateur. Exemple; faire des étirements , marcher, en profiter pour ranger, mais bouger le plus possible.
dimanche 13 décembre 2009
Prévention des douleurs au cou
Tiré du site passeportsante.net
"Mesures préventives de base
Pour éviter les problèmes musculosquelettiques au cou, il faut poser plusieurs petits gestes au quotidien :
* Pratiquer de l’exercice physique durant ses loisirs. Cela peut prévenir la plupart des douleurs au cou, selon les chercheurs. En effet, les travailleurs sédentaires qui ont un faible degré d’activité physique durant leurs loisirs courent plus le risque d’avoir des problèmes au cou et aux épaules.
D.C. plus la musculature va bouger moins elle va congestionner et meilleurs sont vos chances d'éliminer les douleurs au cou.
* Ne pas rester en position assise trop longtemps sans changer de position. Se réserver des moments de détente toutes les heures pour s’étirer le dos, le cou, les jambes et les bras.
D.C. très important sinon vous allez congestionner
* Bien adapter son poste de travail à sa taille : ajuster sa chaise, la hauteur de l’écran d’ordinateur et du clavier, soutenir ses avant-bras, etc.
* Accomplir des mouvements sécuritaires quand on exerce un métier où de la force physique est déployée. S’informer auprès d’un professionnel dûment formé.
* Dans la voiture, bien ajuster la hauteur de l’appuie-tête. Les yeux doivent être à la mi-hauteur de l’appuie-tête.
* Pratiquer des exercices pour renforcer les muscles du cou et du tronc.
D.C. exercice et mouvements de la musculature empêche la congestion musculaire
* Prendre conscience de sa posture et la corriger au besoin.
* Lorsqu’on pratique un sport, se protéger par un équipement et par un entraînement musculaire adéquats.
* Éviter de dormir sur le ventre.
D.C. la meilleure position au sommeil, couché sur le dos, un oreiller sous les genoux. Attention à ne pas utiliser un oreiller pour votre tête trop volumineuse, on doit avoir la tête de le plus droit possible avec la colonne vertébrale.
Obtenir des conseils personnalisés, auprès d’un spécialiste de la médecine sportive, d’un physiothérapeute ou d’un ergothérapeute permet une meilleure prévention."
"Mesures préventives de base
Pour éviter les problèmes musculosquelettiques au cou, il faut poser plusieurs petits gestes au quotidien :
* Pratiquer de l’exercice physique durant ses loisirs. Cela peut prévenir la plupart des douleurs au cou, selon les chercheurs. En effet, les travailleurs sédentaires qui ont un faible degré d’activité physique durant leurs loisirs courent plus le risque d’avoir des problèmes au cou et aux épaules.
D.C. plus la musculature va bouger moins elle va congestionner et meilleurs sont vos chances d'éliminer les douleurs au cou.
* Ne pas rester en position assise trop longtemps sans changer de position. Se réserver des moments de détente toutes les heures pour s’étirer le dos, le cou, les jambes et les bras.
D.C. très important sinon vous allez congestionner
* Bien adapter son poste de travail à sa taille : ajuster sa chaise, la hauteur de l’écran d’ordinateur et du clavier, soutenir ses avant-bras, etc.
* Accomplir des mouvements sécuritaires quand on exerce un métier où de la force physique est déployée. S’informer auprès d’un professionnel dûment formé.
* Dans la voiture, bien ajuster la hauteur de l’appuie-tête. Les yeux doivent être à la mi-hauteur de l’appuie-tête.
* Pratiquer des exercices pour renforcer les muscles du cou et du tronc.
D.C. exercice et mouvements de la musculature empêche la congestion musculaire
* Prendre conscience de sa posture et la corriger au besoin.
* Lorsqu’on pratique un sport, se protéger par un équipement et par un entraînement musculaire adéquats.
* Éviter de dormir sur le ventre.
D.C. la meilleure position au sommeil, couché sur le dos, un oreiller sous les genoux. Attention à ne pas utiliser un oreiller pour votre tête trop volumineuse, on doit avoir la tête de le plus droit possible avec la colonne vertébrale.
Obtenir des conseils personnalisés, auprès d’un spécialiste de la médecine sportive, d’un physiothérapeute ou d’un ergothérapeute permet une meilleure prévention."
samedi 12 décembre 2009
Troubles musculosquelettiques du cou
Tiré du site passeportsante.net
"Symptômes des douleurs au cou
On peut présenter l’un ou l’autre des symptômes suivants.
* Une douleur et une raideur au cou.
* Des mouvements du cou limités, parfois d’un côté plus que de l’autre.
* Des douleurs au haut de la nuque, au haut du dos, aux épaules et aux bras.
* Des vertiges et des maux de tête.
* Lorsque la racine d’un nerf est comprimée ou enflammée : des sensations d’engourdissement, des fourmillements ou une faiblesse dans un bras ou dans une main."
D.C. ; Généralement les douleurs au cou sont attribuées à de mauvaises positions , à l'accumulation de stress ou au manque d'exercice...
"Symptômes des douleurs au cou
On peut présenter l’un ou l’autre des symptômes suivants.
* Une douleur et une raideur au cou.
* Des mouvements du cou limités, parfois d’un côté plus que de l’autre.
* Des douleurs au haut de la nuque, au haut du dos, aux épaules et aux bras.
* Des vertiges et des maux de tête.
* Lorsque la racine d’un nerf est comprimée ou enflammée : des sensations d’engourdissement, des fourmillements ou une faiblesse dans un bras ou dans une main."
D.C. ; Généralement les douleurs au cou sont attribuées à de mauvaises positions , à l'accumulation de stress ou au manque d'exercice...
vendredi 11 décembre 2009
Le stress, un mécanisme de survie
Tiré de:
Le stress, un mécanisme de survie - Forum du Stress au Travail:
"Lorsque le danger survient, le mécanisme du stress intervient :
- le coeur se met à battre au triple galop (son rythme peut passer de 60 à 180 battements par minute), pour irriguer plus vite et plus efficacement le système musculaire
- la digestion est coupée, afin que le sang participant à la fonction digestive, soit immédiatement envoyé vers les muscles pour mieux les oxygéner (cela explique pourquoi durant le temps de l'action, il arrive que le stress nous coupe l'appétit)
- l'énergie utilisée par le système immunitaire, est récupérée au bénéfice du système musculaire, devenu prioritaire dans la lutte pour la survie
- la partie du cerveau la plus intelligente (le cortex cérébral, particulièrement développé chez les mammifères) est déconnecté de l'action, comme si l'intelligence analytique était considérée par la nature comme trop lente (voilà pourquoi lorsqu'on a peur ou qu'on est en colère, on a tant de mal à trouver les mots justes, et pourquoi on peut si facilement dire des choses que l'on regrette par la suite)."
D.C. il est pas étonnant de constater après la lecture de ce texte combien le stress peut influencer notre corps et notre esprit
Le stress, un mécanisme de survie - Forum du Stress au Travail:
"Lorsque le danger survient, le mécanisme du stress intervient :
- le coeur se met à battre au triple galop (son rythme peut passer de 60 à 180 battements par minute), pour irriguer plus vite et plus efficacement le système musculaire
- la digestion est coupée, afin que le sang participant à la fonction digestive, soit immédiatement envoyé vers les muscles pour mieux les oxygéner (cela explique pourquoi durant le temps de l'action, il arrive que le stress nous coupe l'appétit)
- l'énergie utilisée par le système immunitaire, est récupérée au bénéfice du système musculaire, devenu prioritaire dans la lutte pour la survie
- la partie du cerveau la plus intelligente (le cortex cérébral, particulièrement développé chez les mammifères) est déconnecté de l'action, comme si l'intelligence analytique était considérée par la nature comme trop lente (voilà pourquoi lorsqu'on a peur ou qu'on est en colère, on a tant de mal à trouver les mots justes, et pourquoi on peut si facilement dire des choses que l'on regrette par la suite)."
D.C. il est pas étonnant de constater après la lecture de ce texte combien le stress peut influencer notre corps et notre esprit
jeudi 10 décembre 2009
La vie de plus en plus vite
Tiré du site http://forum-du-stress-au-travail.blog4ever.com
Non évidemment le stress au travail, n'est pas un phénomène nouveau :
il y a toujours eu des activités plus stressantes que d'autres. Les
pompiers, les aiguilleurs du ciel, les ambulanciers, les gens qui
travaillent dans un service après vente, vivent au quotidien des
situations de tension : on pourrait même dire qu'ils en ont fait leur
métier.
Ce qui est nouveau en réalité, c'est que beaucoup de gens vivent
aujourd'hui des situations de stress auxquelles ils n'ont pas été
habitués. Car le rythme de travail s'est accéléré au fil des années,
lentement mais sûrement, étant la conséquence d'un rythme de vie qui
s'accélère aussi.
Autrefois les gens vivaient pour la plupart dans les campagnes, leur
vie était rude, mais simplement rythmée par les saisons et le travail
physique était garant d'un sommeil profond.
D.C. , Maintenant on travaille beaucoup moins physiquement, ce qui
fait en sorte que l'on élimine pas le stress accumulé, celui-ci reste
en dedans de nous ce qui occasionne des troubles physiques et
mentales...
Aujourd'hui nous vivons principalement dans les grandes villes, ou
dans des banlieues qui nécessitent des déplacements fatiguants sur le
plan nerveux. La compétition internationale met les entreprises en
concurrence, notamment avec des pays où les gens travaillent pour
moins cher. Alors tout s'est accéléré, la mécanisation a accompagné
cette accélération, mais les machines demandent de la surveillance, et
l'aide qu'elles apportent en matière de productivité, n'exclut pas une
certaine tension nerveuse, dûe à l'attention qu'elles demandent.
D.C., le corps humain est-il vraiment fait pourrait aller toujours de
plus en plus vite, il doit sûrement y avoir une limite. Et qui nous
dit que nous ne sommes pas rendus à cette limite, sommes-nous aussi
inconscients pour ne pas s'apercevoir des conséquences de
l'accélération de la vie quotidienne...
De plus le téléphone mobile est omniprésent, souvent même pendant les
repas. Il arrive qu'il sonne durant un appel sur le fixe. Ou
réciproquement... C'est pourquoi le stress aujourd'hui touche tout le
monde, même les gens qui n'ont pas choisi une activité spécialement
stressante.
D.C. , Sommes-nous aussi pressés de répondre au téléphone, doit-on
toujours être si disponible pour tous le monde, mais qu'est-ce qu'on
fait de notre tranquillité personnelle, on est en train de la perdre.
Je suis conscient que l'on ne peut pas vivre sans stress, la vie
actuelle nous oblige à vivre avec. La seule solution pour ne pas
tomber dans le cercle infernal du stress c'est d'apprendre à bien le
gérer. les solutions sont nombreuses, mais les meilleur ne sont pas
les plus faciles à appliquer... prendre le temps de relaxer, faire
les choses le plus tranquillement possible, faites de l'exercice, fait
de vous masser...
Non évidemment le stress au travail, n'est pas un phénomène nouveau :
il y a toujours eu des activités plus stressantes que d'autres. Les
pompiers, les aiguilleurs du ciel, les ambulanciers, les gens qui
travaillent dans un service après vente, vivent au quotidien des
situations de tension : on pourrait même dire qu'ils en ont fait leur
métier.
Ce qui est nouveau en réalité, c'est que beaucoup de gens vivent
aujourd'hui des situations de stress auxquelles ils n'ont pas été
habitués. Car le rythme de travail s'est accéléré au fil des années,
lentement mais sûrement, étant la conséquence d'un rythme de vie qui
s'accélère aussi.
Autrefois les gens vivaient pour la plupart dans les campagnes, leur
vie était rude, mais simplement rythmée par les saisons et le travail
physique était garant d'un sommeil profond.
D.C. , Maintenant on travaille beaucoup moins physiquement, ce qui
fait en sorte que l'on élimine pas le stress accumulé, celui-ci reste
en dedans de nous ce qui occasionne des troubles physiques et
mentales...
Aujourd'hui nous vivons principalement dans les grandes villes, ou
dans des banlieues qui nécessitent des déplacements fatiguants sur le
plan nerveux. La compétition internationale met les entreprises en
concurrence, notamment avec des pays où les gens travaillent pour
moins cher. Alors tout s'est accéléré, la mécanisation a accompagné
cette accélération, mais les machines demandent de la surveillance, et
l'aide qu'elles apportent en matière de productivité, n'exclut pas une
certaine tension nerveuse, dûe à l'attention qu'elles demandent.
D.C., le corps humain est-il vraiment fait pourrait aller toujours de
plus en plus vite, il doit sûrement y avoir une limite. Et qui nous
dit que nous ne sommes pas rendus à cette limite, sommes-nous aussi
inconscients pour ne pas s'apercevoir des conséquences de
l'accélération de la vie quotidienne...
De plus le téléphone mobile est omniprésent, souvent même pendant les
repas. Il arrive qu'il sonne durant un appel sur le fixe. Ou
réciproquement... C'est pourquoi le stress aujourd'hui touche tout le
monde, même les gens qui n'ont pas choisi une activité spécialement
stressante.
D.C. , Sommes-nous aussi pressés de répondre au téléphone, doit-on
toujours être si disponible pour tous le monde, mais qu'est-ce qu'on
fait de notre tranquillité personnelle, on est en train de la perdre.
Je suis conscient que l'on ne peut pas vivre sans stress, la vie
actuelle nous oblige à vivre avec. La seule solution pour ne pas
tomber dans le cercle infernal du stress c'est d'apprendre à bien le
gérer. les solutions sont nombreuses, mais les meilleur ne sont pas
les plus faciles à appliquer... prendre le temps de relaxer, faire
les choses le plus tranquillement possible, faites de l'exercice, fait
de vous masser...
mercredi 9 décembre 2009
Le stress et moi (suite 2)
Un autres symptômes qui m'envahit assez souvent, c'est la sensation de tempête mental, durant la journée de travail j'ai souvent l'impression de ne pas être capable d'arrêter de penser, les idées tournent continuellement dans ma tête surtout que mon travail me demande une très grande concentration et une capacité d'analyse élevée. Je dois analyser des problèmes toute la journée alors je suis continuellement dans ma tête, ce qui occasionne une tempête mentale qui est difficilement contrôlable. les idées tournent continuellement.
Ce que je fais pour régler ce problème, je dois arrêter pendant quinze minutes de travailler, changez d'endroits et méditer. Après les méditations de quinze minutes je suis frais et dispos, je suis beaucoup plus calme plus détendu plus concentrer et bien mieux dans ma peau.
bonne méditation...
Ce que je fais pour régler ce problème, je dois arrêter pendant quinze minutes de travailler, changez d'endroits et méditer. Après les méditations de quinze minutes je suis frais et dispos, je suis beaucoup plus calme plus détendu plus concentrer et bien mieux dans ma peau.
bonne méditation...
mardi 8 décembre 2009
le stress et moi (suite)
il y a un Symtôme assez particulier qui m'affecte. Ce sont des espèces de choc électrique qui se produise au niveau du crâne, comme si on recevait une décharge électrique de très courte durée, cela arrive quand je suis surpris par quelque chose. Habituellement ce genre de surprise nous apporte la peur, mais dans mon cas ce sont les petits choc qui se déclenche. ce n'est pas tellement désagréable, mais au début j'était inquiet de ce genre de réactions. Maintenant que je sais que c'est le stress qui m'occasionne ce genre de trouble, j'ai appris à vivre avec. Ça arrive pas tellement souvent, mais je n'ai pas encore réussi à m'en débarrasser. Si il y a quelqu'un qui a ce genre de problème ce serait intéressant de laisser un commentaire.
lundi 7 décembre 2009
La chaise de massage, une bonne alternative.
Vous êtes mal à l'aise de recevoir un massage, une bonne alternative est d'acheter une chaise de massage. Plusieurs modèles sont disponibles sur le marché, pour tous les prix. Je vous conseille d'acheter une chaise de massage qui n'est pas nécessairement dispendieuse, mais plutôt qui donne des massage vigoureux.
Ce qui est très important quand on utilise une chaise de massage, c'est de l'utiliser de façon efficace. Les programmations automatiques qui sont déjà intégrées à la chaise son efficace mais pas toujours adaptées à tous. La bonne chose a faire est d'utiliser le mode manuel, diriger tranquillement les points de massage où l'on a mal et ensuite sélectionner le massage qui nous fait le plus de bien. Habituellement un massage sur chaise devrait durer environ quinze minutes, par contre quand on utilise la chaise en mode manuel, on peut rallonger le temps de massage car on vise des points précis du corps.
Les premières fois, prenez le temps de bien lire les instructions et faites attention à l'intensité que la chaise va appliquer, il y a toujours une intensité contrôlable par un bouton précis. Utilisé en mode manuel lorsqu'on dirige les points de massage précisément à l'endroit où l'on a mal, si on contrôle pas l'intensité, ça peut devenir excessivement douloureux.
voici les avantages d'utiliser une chaise qui masse intensément:
Jamais la chaise va remplacer une main humaine, mais c'est quand même efficace.
bon massage...
Ce qui est très important quand on utilise une chaise de massage, c'est de l'utiliser de façon efficace. Les programmations automatiques qui sont déjà intégrées à la chaise son efficace mais pas toujours adaptées à tous. La bonne chose a faire est d'utiliser le mode manuel, diriger tranquillement les points de massage où l'on a mal et ensuite sélectionner le massage qui nous fait le plus de bien. Habituellement un massage sur chaise devrait durer environ quinze minutes, par contre quand on utilise la chaise en mode manuel, on peut rallonger le temps de massage car on vise des points précis du corps.
Les premières fois, prenez le temps de bien lire les instructions et faites attention à l'intensité que la chaise va appliquer, il y a toujours une intensité contrôlable par un bouton précis. Utilisé en mode manuel lorsqu'on dirige les points de massage précisément à l'endroit où l'on a mal, si on contrôle pas l'intensité, ça peut devenir excessivement douloureux.
voici les avantages d'utiliser une chaise qui masse intensément:
- Vous pouvez utiliser la puissance de la chaise pour masser les endroits douloureux et tendus de votre corps. ex:( douleurs entre les deux omoplates, on dirige manuellement les points de massage à cet endroit, et on sélectionne le genre de massage qu'on veut recevoir. On commence avec une intensité faible puis on monte graduellement.
- Vous pouvez diriger vous-même votre massage en fonction de ce que vous ressentez. Ex: ( Mal de dos, on laisse la chaise nous masser à cet endroit durant tout le temps du massage)
- Le temps de massage est variable en fonction de ce que vous avez besoin, ex: ( on passe plus de temps à se faire masser où on a mal)
- L'heure importe peu, on peut se faire masser en plein milieu de la nuits si on a de la difficulté à s'endormir, ou même de bonne heure le matin avant de commencer sa journée ( ce qui est fortement recommandé) ou même en arrivant du travail, pour évacuer le stress de la journée. ou encore mieux juste avant de se coucher ( sommeils assurés).
Jamais la chaise va remplacer une main humaine, mais c'est quand même efficace.
bon massage...
samedi 5 décembre 2009
Stress, crise cardiaque et la fuite
Tiré du site passeportsante.net
Travail: fuir les conflits augmente le risque de crise cardiaque et de décès
Les hommes qui fuient un conflit avec un patron plutôt que d’y faire face multiplient par 3 le risque d’être victimes d’une crise cardiaque, et même d’en mourir, comparativement à ceux qui affrontent la situation.C’est ce qui ressort d’une étude suédoise menée dans différents milieux de travail auprès de 2 755 hommes âgés de 41 ans en moyenne.
Pendant 10 ans, ceux-ci ont été sondés à différentes reprises pour mesurer leurs réactions - immédiates et ultérieures - lorsque survient une situation conflictuelle au travail. Et lorsque le conflit survient entre collègues? Le risque de crise cardiaque est multiplié par 4 chez ceux qui ont tendance à fuir la situation comparativement à ceux qui l’affrontent.
Ruminer, source de maladies cardiovasculaires?
Comment fuir un conflit peut-il provoquer une crise cardiaque? « La fuite n’élimine pas la colère - au contraire - et cette colère réprimée revient sans cesse dans la tête : c’est ce qu’on appelle la rumination », explique Sonia Lupien, directrice du Centre de recherche sur le stress humain de l’Hôpital Louis-H. Lafontaine, à Montréal.
Or, la rumination élève la production des hormones du stress qui, sollicitées de façon chronique, peuvent provoquer une maladie cardiaque et même la mort. « Ce lien entre le stress chronique vécu au travail et les maladies du coeur n’est pas nouveau, et cette étude confirme ce lien », ajoute la chercheuse en neuropsychologie.
Du soutien social pour contrer le stress
Sonia Lupien estime que les travailleurs ont tout intérêt à améliorer leur capacité à affronter les situations conflictuelles.
« Le meilleur rempart contre le stress est le soutien social : les échanges qu’il engendre empêchent de ruminer seul, même dans les situations très stressantes », indique-t-elle.
Elle se dit très critique à l’endroit des modes de gestion misant uniquement sur la performance des employés. « Les employeurs - et les syndicats, là où il y en a - devraient promouvoir davantage de soutien social au sein de leur entreprise, plutôt que de miser sur une gestion qui induit une trop grande pression entre collègues », soutient Sonia Lupien.
Martin LaSalle – PasseportSanté.net
Travail: fuir les conflits augmente le risque de crise cardiaque et de décès
Les hommes qui fuient un conflit avec un patron plutôt que d’y faire face multiplient par 3 le risque d’être victimes d’une crise cardiaque, et même d’en mourir, comparativement à ceux qui affrontent la situation.C’est ce qui ressort d’une étude suédoise menée dans différents milieux de travail auprès de 2 755 hommes âgés de 41 ans en moyenne.
Pendant 10 ans, ceux-ci ont été sondés à différentes reprises pour mesurer leurs réactions - immédiates et ultérieures - lorsque survient une situation conflictuelle au travail. Et lorsque le conflit survient entre collègues? Le risque de crise cardiaque est multiplié par 4 chez ceux qui ont tendance à fuir la situation comparativement à ceux qui l’affrontent.
Ruminer, source de maladies cardiovasculaires?
Comment fuir un conflit peut-il provoquer une crise cardiaque? « La fuite n’élimine pas la colère - au contraire - et cette colère réprimée revient sans cesse dans la tête : c’est ce qu’on appelle la rumination », explique Sonia Lupien, directrice du Centre de recherche sur le stress humain de l’Hôpital Louis-H. Lafontaine, à Montréal.
Or, la rumination élève la production des hormones du stress qui, sollicitées de façon chronique, peuvent provoquer une maladie cardiaque et même la mort. « Ce lien entre le stress chronique vécu au travail et les maladies du coeur n’est pas nouveau, et cette étude confirme ce lien », ajoute la chercheuse en neuropsychologie.
Du soutien social pour contrer le stress
Sonia Lupien estime que les travailleurs ont tout intérêt à améliorer leur capacité à affronter les situations conflictuelles.
« Le meilleur rempart contre le stress est le soutien social : les échanges qu’il engendre empêchent de ruminer seul, même dans les situations très stressantes », indique-t-elle.
Elle se dit très critique à l’endroit des modes de gestion misant uniquement sur la performance des employés. « Les employeurs - et les syndicats, là où il y en a - devraient promouvoir davantage de soutien social au sein de leur entreprise, plutôt que de miser sur une gestion qui induit une trop grande pression entre collègues », soutient Sonia Lupien.
Martin LaSalle – PasseportSanté.net
jeudi 3 décembre 2009
Le stress et la génétique
Par revue Nature Neuroscience le 11/11/2009.
Le stress survenant tôt dans la vie provoquerait des modifications génétiques qui influenceraient les réactions et les comportements futurs, selon une étude publiée dans la revue Nature Neuroscience.
Le stress tôt dans la vie modifie des gènes et les comportements adultes. Ces résultats représentent un apport très précieux pour la compréhension des effets à long terme du stress au début de la vie.
Christopher Murgatroyd, de l'Institut de psychiatrie Max Planck de Munich (Allemagne), et ses collègues ont stressé des souris naissantes en les séparant de leurs mères trois heures par jour pendant 10 jours, ce qui représente un stress relativement léger.
Les souris ayant ainsi été "abandonnées" étaient, toute leur vie, moins capables de composer avec les situations stressantes et elles avaient une moins bonne mémoire.
Ces effets étaient causés, explique Dr Murgatroyd, par des changements épigénétiques (1). Lors du stress, les souris produisaient des niveaux élevés d'hormones du stress. Ces hormones altéraient ensuite l'ADN détenant le code de l'hormone vasopressine qui est impliquée dans les réactions au stress et les comportements sociaux. "Cela laisse une marque permanente au gène de la vasopressine", explique Murgatroyd. "Il est ensuite programmé pour produire des niveaux élevés de cette hormone (...)."
Quand les souris adultes recevaient une substance qui bloquait les effets de la vasopressine, leur comportement revenait à la normal.
Selon le professeur Hans Reul, chercheur en neuroscience à l'Université de Bristol, ces résultats représentent un apport très précieux pour la compréhension des effets à long terme du stress au début de la vie. "Il y a de fortes indications que les adversités telles que l'abus et la négligence durant l'enfance contribuent au développement de troubles psychiatriques comme la dépression", dit-il. Des mécanismes épigénétiques, tels que ceux décrits dans cette étude, peuvent contribuer à l'expliquer.
(1) L'influence de l'environnement (ou de l'expérience) dans le fonctionnement (ou "l'expression") des gènes est dite "épigénétique".
Mercredi 11 Novembre 2009
Nature Neuroscience
Le stress survenant tôt dans la vie provoquerait des modifications génétiques qui influenceraient les réactions et les comportements futurs, selon une étude publiée dans la revue Nature Neuroscience.
Le stress tôt dans la vie modifie des gènes et les comportements adultes. Ces résultats représentent un apport très précieux pour la compréhension des effets à long terme du stress au début de la vie.
Christopher Murgatroyd, de l'Institut de psychiatrie Max Planck de Munich (Allemagne), et ses collègues ont stressé des souris naissantes en les séparant de leurs mères trois heures par jour pendant 10 jours, ce qui représente un stress relativement léger.
Les souris ayant ainsi été "abandonnées" étaient, toute leur vie, moins capables de composer avec les situations stressantes et elles avaient une moins bonne mémoire.
Ces effets étaient causés, explique Dr Murgatroyd, par des changements épigénétiques (1). Lors du stress, les souris produisaient des niveaux élevés d'hormones du stress. Ces hormones altéraient ensuite l'ADN détenant le code de l'hormone vasopressine qui est impliquée dans les réactions au stress et les comportements sociaux. "Cela laisse une marque permanente au gène de la vasopressine", explique Murgatroyd. "Il est ensuite programmé pour produire des niveaux élevés de cette hormone (...)."
Quand les souris adultes recevaient une substance qui bloquait les effets de la vasopressine, leur comportement revenait à la normal.
Selon le professeur Hans Reul, chercheur en neuroscience à l'Université de Bristol, ces résultats représentent un apport très précieux pour la compréhension des effets à long terme du stress au début de la vie. "Il y a de fortes indications que les adversités telles que l'abus et la négligence durant l'enfance contribuent au développement de troubles psychiatriques comme la dépression", dit-il. Des mécanismes épigénétiques, tels que ceux décrits dans cette étude, peuvent contribuer à l'expliquer.
(1) L'influence de l'environnement (ou de l'expérience) dans le fonctionnement (ou "l'expression") des gènes est dite "épigénétique".
Mercredi 11 Novembre 2009
Nature Neuroscience
mercredi 2 décembre 2009
Catégories de douleur
Quelque soit la douleur que vous avez, vous devez faire quelque chose pour y remediez. N'attendez pas que vous soyez dans un état de douleur extrême, car plus vous attendez et plus la douleur est difficilement résorbable. Plus vous remédier à la situation rapidement et moin ce sera difficile de faire disparaître la douleur.
Les médicaments sont une bonne solution pour calmer la douleur, mais le muscle doit absolument bouger et être actif pour retrouver sa vitalité d'autrefois. Mettez-vous au travail et les résultats positif ne tarderont pas à apparaître. Soyez actifs le plus possible, faite de l'exercice, des étirements musculaires, de la relaxation, faites-vous masser.
Info tiré du site passeportsante.com
Les médicaments sont une bonne solution pour calmer la douleur, mais le muscle doit absolument bouger et être actif pour retrouver sa vitalité d'autrefois. Mettez-vous au travail et les résultats positif ne tarderont pas à apparaître. Soyez actifs le plus possible, faite de l'exercice, des étirements musculaires, de la relaxation, faites-vous masser.
Info tiré du site passeportsante.com
- Douleur aiguë : Douleur pouvant durer jusqu’à quatre semaines . Bien qu’elle soit de courte durée, la douleur aiguë peut occasionner beaucoup d'inconfort, imposer un arrêt de travail pendant quelques jours et gêner considérablement les activités quotidiennes.
- Douleur subaiguë : une douleur qui persiste généralement de quatre semaines à trois mois, de manière plus ou moins constante.
- Douleur chronique : une douleur constante qui dure plus de trois mois. Les causes de la douleur chronique sont parfois difficiles à déterminer. Les personnes qui en souffrent doivent souvent envisager d’apporter des modifications importantes à leur mode de vie.
mardi 1 décembre 2009
La musique un remède au stress et à la douleur
Chronique tiré du site passeportsante.com
Écouter de la musique aurait des effets bénéfiques sur la santé du coeur, rapporte l’École de médecine de Harvard. La musique aurait aussi des bienfaits contre la douleur et l’anxiété.
L’université américaine a recensé les derniers essais cliniques, pour la plupart réalisés auprès de patients souffrant de problèmes cardiaques. Les études analysées étaient limitées à un nombre restreint de participants, mais les conclusions sont malgré tout encourageantes, estiment les spécialistes.
- Pression artérielle. Des patients cardiaques d’un hôpital du Massachusetts qui ont écouté de la musique pendant 30 minutes ont vu leur hypertension, leurs battements cardiaques et leur angoisse diminuer, comparativement à ceux qui n’avaient pas écouté de musique.
Un hôpital de Hong Kong a prescrit à des patients âgés une séance musicale quotidienne de 25 minutes, pendant 4 semaines. Selon les résultats, la pression systolique (l’apport de sang dans les artères) et la pression diastolique (la pression exercée sur les artères entre chaque pulsation) ont toutes les deux diminué. - Circulation sanguine. L’écoute de musique joyeuse ou relaxante aurait favorisé une meilleure circulation sanguine chez des participants en santé, soutient une étude d’une université de Baltimore. À l’inverse, la musique qui provoquait de l’anxiété aurait nui à la circulation sanguine.
- Anxiété. Écouter 20 minutes de musique apaisante aurait permis d’atténuer l’anxiété chez des personnes qui avaient fait une crise cardiaque, selon une étude menée à l’Université du Wisconsin-Milwaukee.
- Douleur. Les patients qui, après une chirurgie cardiaque, ont écouté de la musique disaient ressentir moins de douleur et d’anxiété comparativement à ceux qui n’ont fait que se reposer, révèle une étude réalisée dans un hôpital de Minneapolis.
Danny Raymond – PasseportSanté.net
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